Les relations hétérosexuelles dans le patriarcat sont toxiques pour les femmes. S'ils veulent entrer dans une telle relation, les femmes doivent prouver leur valeur patriarcale, c'est-à-dire, le talent d'être soumis. S'ils veulent garder leurs relations, ils doivent continuer à être soumis, faux, ils doivent abandonner leurs rêves, dignité, et la recherche du bonheur. De telles relations ne servent qu'à un peu de sécurité matérielle et sociale, pas pour le bonheur. Parce que les femmes n’ont pas réellement accès aux ressources, ils sont exploités. Cela montre ce que sont les femmes dans le patriarcat: esclaves. Seuls les esclaves vivent pour survivre.
La société ne s’intéresse pas au bonheur et au bien-être des femmes. Le cas échéant, de telles relations auraient été interdites et les femmes auraient été protégées contre elles par la loi. Maintenant, en quarantaine et isolement, les femmes courent un plus grand danger à la maison qu'en plein air. Parce que les violences conjugales tuent plus de femmes que ce virus. Mais la sécurité des femmes n’a pas d’importance. Peut-être que la violence domestique devrait être qualifiée de « violence patriarcale ». Les femmes sont battues et tuées parce qu'elles s'expriment, ils disent ce qu'ils n'aiment pas, parce qu'ils ne se comportent pas comme des esclaves. Une femme qui ne joue pas son rôle d’objet peut être tuée.